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Comme le dit mon titre j'ai créer une fiction qui n'est pas drôles et qui ne parle pas de pivot. Comme un roman par exemple. Je vous poste tout de site le chapitre I & II.
Fiction créer par moi.

Chapitre I

J'ouvris les yeux, j'étais dans ma chambre étendue sur mon lit. Trois couches de couvertures grises m'enveloppaient. Je regardai devant moi, je voyais ma petite fenêtre sans rideau. Je posai mon regard vers ma vieille table de chevet tout noir. Elle n'avait rien de spéciale, juste quelle était très vieille. Je pris le livre que j'avais posé par terre. Il gisait à moitié chiffonnés. J'allumai une petite lampe et commença à lire. Je lue quelque minute puis reposai le livre avec d'égout. Décidemment ce livre me barber, rien que de toucher la couverture un carton et de feuilletés les lignes du roman me donnait la gerbe. Je me levai, le sol craquai décidément rien ne serais bien aujourd'hui. Je m'assit sur ma chaise de bureau et commençai à fouiller dans les tiroirs de mon meuble. J'en ressortis un vieux manuscrit ou plutôt mon petit journal. Un vieux cahier où j'écrivais tout ce qui me passais par la tête. Il était regorger de conneries en tout genres : des lol, des mdr, des ptdr sur toute les pages. Pff je ne savais pas dire autre chose. Aussi vu le langage que mes parents m'apprennent je m'en sors plutôt pas mal. J'étouffai un petit rire. Rien que de panser au langage de mes parents inculte je ne pouvais m'empêcher de rire. Mes parents ne savaient dire que trois mots chacun (enfin façons de parler^^) Les mots étaient : sale *BIP*, connasse et sale conne pour mon père et les même chose pour ma mère sauf dit au masculin. J'ouvrit le cahier et lue les dernières pages que j'avais écrite :
Lol. Mes parents me prennent trop la tête XD, des vrais cons lol. Comme c'est super, je m'amuse trop. Mais qui sont cons.
C'était plutôt moi la conne, mais bon... je jouer mon hypocrites. Sa me réussissait pas. Je m'étais attirais presque tout le quartier. Mais bon c'était que des, moche avec plains de bouton et il se croyait déjà adulte lol. Je sortis une clope de mon bureau, l'alluma et la fuma. Puis quand je finis, je me recouchais en pensant à l'amour de ma vie. Sous les air de dures à cuire je n'étais qu'une petite sentimentale perdue dans les rêves d'un amour fou. Mais bon, rien ne se finis bien. Tout se finis mal ou alors on rêve !!

****

Une lumière perçante me réveilla. J'ouvris les yeux et ronchonna quand je vis ma mère. Ma mère avait une tête de junkies. Vraiment une tête bizarre, mon père... ne m'en parle pas. Il avait une petite moustache qu'il arborer avec plaisir. Je dis à ma mère :

« Laisse moi dormir !!
-Non !! Tu à école je ne te signale. Et je ne te conseille pas de sécher les cours comme tu l'a fait, sinon sa ira très mal, répondit ma mère d'une voix autoritaire.
-Deux secondes...
-Dépêche toi ou tu vas arriver un retard.
-Mais man il est six heures et demis du mat, j'ai cours dans plus d'une heure.
-Ne discute pas... »

Ma mère partit en claquant la porte. Pff j'en et marre de cette vie, pensai-je. Je me levai et sortit de ma chambre. Je descendis les escaliers et allai dans la vieille cuisine. La cuisine, si on pouvais l'appeler comme ça était une des pièces les plus ignoble. Les murs n'avait pas de tapisserie, le sol était un béton tout froid de plus par endroit il était cassé ou des bout de ferrailles en tout genre ne manquait pas d'entrer dans le pied. C'était un vrai champ de bataille. Pourtant il n'y avait pas beaucoup de meuble, cinq au final : une vieille table, trois
chaises et en lave vaisselle. Bien sure il y avait un four, un frigo mais ne parlons pas d'électroménager. Je m'assit sur la vieille chaise, je rêvai pendant cinq minute puis me décidai à prendre mon petit déjeuner. J'allai chercher un yaourt et pris mes céréales (des chocopops) Le seul truc qui est bon. Je versa les chocopops dans un bol gris que j'avais pris auparavant et mis au moins 30 centilitres de lait dans le récipients, j'adorais noyer mes céréales. Ma mère arriva et quand elle me vit elle éprouva une certaine satisfaction. Je ne l'aimais pas, je ne la détestais pas non plus. Mais elle me saoulait avec ses air. Elle se servit du thé et commença à boire. Même quand elle buvait, elle m'énervait. Elle se prenait pour une duchesse anglaise à la con. Je finis vite mon déjeuner et quitta la cuisine. Ma mère me rappela :

« Ne traîne pas !! Je veux te voir prêtes à 7 heures et demi.
-Oui maman. »

Elle me prenait vraiment pour une limace. Il était environ 6 heures 40 j'avais au moins 50 minutes pour me préparer. Pff, toute façons c'est la vie et la vie sa se vie même si c'est nul ! Et c'est nul... enfin la mienne... J'allai dans la salle de bain, c'était la seule pièce que j'aimais elle avait une tapisserie orner de signe, de poisson, de cœur... Mais bon je devais être la seule à l'aimais, car mes parents projeter de l'enlever. Décidément mais parents faisait tout pour me faire chier. Je me déshabilla, regardai mon corps nu. J'étais une fille normale, même plutôt belle. J'avais des yeux bleus, des sourcils foncer légèrement argentés, des cheveux marron qui me tombait jusqu'au épaule mais que j'attachais avec soin un queue de cheval et aussi j'avais des petites taches de rousseur qui me donnait l'air d'une gamine. J'avais pourtant quatorze années. Je me mis dans la douche à et fit couler l'eau. Elle était chaude, j'aimais cette sensation. Je pris du gel douche et m'en mis sur les mains puis me lava tout le corps et me rinça. Je me séchai puis enfila mes vêtements : une jupe noire et une chemisette noir aussi. Je me séchai les cheveux longuement puis allai dans ma chambre. Je m'approcha de mon bureau et sortit mon carnet. Puis sortis un stylo et commença à écrire. Ma mère m'appela soudain, je regardai l'heure, il était sept heures et demis c'était l'heure. Je descendis les escaliers et allai à l'école. Depuis deux ans j'y allais à pied.

Chapitre II

Je marchai pendant dix minutes quand j'arrivais devant les hautes grilles des collèges. Adosser contre un muret attendait Jenny et sa bande de truie, en gros mais pires ennemis. Elle ne manquer pas une occasion de me foutre les boules et de me rappeler combien mes parents étaient timbrés et à quel point j'étais pauvre. Je passai devant elle sans rien dire en essayant de les ignorer le plus possible. Elles ne réagirent pas, (merde c'est une occasion en or). Je pressais le pats quand soudain presque arriver j'entendit la voix niaise de Jenny :

« Petite conne ont ta manqué !
-Pas le moindre du monde, répondis-je d'un air le plus détachés possible.
- Tu ne nous parles pas sur ce ton ! Petite conne ! »

Ha oui j'ai oublier de vous précisez une de ses amies est une gorille une vrai terreur. Toute ma classe à peur d'elle et ils ont bien raisons. J'avais presque franchis le portail que je sentis une douleur atroce au niveau du dos, je me retournai. Je vis arriver le poing du gorille. Je fus projeter en arrière et chancela. Je me rattrapai de justesse au grillage. Je me mis à courir. Elle n'échappait pas à la règle, comme tout les gorilles elle était grosse et ne courrais pas vite. J'en profitais donc et arrivai dans le hall d'entrée du collège. Je contemplais le paysage dérisoire, des colonnes en brique soutiennent le toit. Dessus le principal avait mis une couche de bois pour coller des affiches en tout genres (des affiches pour HaÏti, des affiches pour les ventes de pain au chocolat, des affiches de l'armée de l'air...). L'entrée était bonder de monde, des gens crient d'autre se battez. Je regardais derrière moi, Jenny et son groupes étaient entrer et s'approchaient de moi. Vite il fallez que je me mettes à courir. Je me réfugiai dans les toilettes. C'était le seul endroit ou je pouvais être tranquille. La sonnerie de la fin de la pause retentit. J'escaladai la cuvette des W.C et regardai par-dessus. Ils ni avait personne. J'ouvris la cabine, très mauvaise idée me dis-je tout de suite quand je vis la gorille et jenny sortirent de la cabine à cotés de moi. Je voulue m'enfuir, mais la gorille me fis un croche patte. Je tombai en avant la tête la première. Je me mis à pleurer. Le gorille me donna un coup de pied qui me coupa la respiration. Elle me souleva et m'amena prés des W.C. Elle me plongea la tête dans l'eau de la cuvette et tira la chasse. Je sentis que le courant m'emportait vers le fond. Je suffoquai. Juste au moment où j'allais manquer d'air elle me souleva et me jeta. Je me mis à rouler sur le sol et me cogna la tête contre un tuyau. Je levai la tête à moitié sonner. Un filet de sang se mis à couler de mon front. Jenny s'approcha de moi et me dit :

« Tout ça c'est de ta faute, si tu nous avais pas narguez rien ne te serais arriver, allez dit le ou je te tape.
- Tout ça c'est de ma faute, si je ne vous avez pas narguez rien ne me serais arriver, répétai-je avec nervosité.
-Maintenant dit, je suis une gamine, une sale gamine qui mérites d'être tuer, allez dit.
-Je suis une sale gamine qui mérites d'êtres tuer.
-C'est bien, dit-elle en m'écrasant la tête. »

Après avoir dit ça elle partit avec sa copine, enfin avec gorille. Je me levai quelques minutes après m'assurant qu'elle n'allais pas revenir. Il fallais que j'aille en classe, j'avais assez rater de temps. Si je sèche les cours, mes parents ne me le pardonneraient pas. Mais je ne pouvais pas y'aller comme ça. Je sentais une drôle d'odeur, j'avais les cheveux coller à mon dos, des gouttes d'eau coulait sur tout mon corps, j'avais des hématomes de partout et du sang sécher sur tout mon visage. Comment allai-je expliquais ça au professeur. Que j'étais tomber dans la cuvette et que je m'étais relevés et que manque de bol j'avais glisser sur de l'eau et que je m'étais cogner contre un tuyau. Non c'était tellement loufoque autant dire la vérité mais j'avais peurs des représailles qui serais lourdes et douloureuse. Il fallait que j'aille voir l'infirmière du collège, mais comment expliquait mon état. Il fallait que je lui dise toute la vérité. Après tout elle était soumise au secret médical mais elle ne s'empêcherait pas de dire tout au principal. Et le principal convoquerait le groupe à cindy et il devinerait que j'aurais tout balancé et elles me tueraient. J'étais bloquer, il fallait que je me débrouille tout seule. Je sortis un mouchoir de mon cartable qui avait été projeté. Je me débarbouillai la figure, je sortis un flacon de parfum. Je le gardai toujours un cas de coup dur. Je me mis les trois quarts du flacon. Pendant combien de temps sa allait masquer l'odeur. Voila maintenant je pouvais voir l'infirmière et lui raconter une bobard. Je sortis donc du hall et me dirigea vers l'infirmerie. Je frappai à la porte. Elle m'ouvrit, l'infirmière avait à peut prés 26 ans et était très belle. Elle avait des cheveux blonds comme la paille et des yeux tout bleus. Tous les élèves de 3°éme voulaient se marier avec elle. Les autres classes de 6°,5° et 4° éme pensaient juste à elle et à des fantasmes impossibles.

« Entrer. Susurra t-elle. Qu'est ce qui vous amènes ?
-Je suis tombé dans les toilettes et je me suis cogné contre le sol, récitai-je.
- Assis toi, je vais te donner de l'armica. »

Je m'assis donc sur une petite chaise en verre bleu. Elle revint quelque minutes plus tard avec un tube marquer armica. Elle m'appliqua la pommade sur mes multiples bosses et me fis un mot en quoi j'étais allé à l'infirmerie. Je sortis tout de suite après, je regardais ma montre il était 8 heures 45, j'avais rater les trois quarts du cour. Sa ne valais pas la peine que j'ailles en cours je ne serais toute façons pas accepter. Je m'assis donc contre un murs et sortis le livre que je répugnais à lire. Le temps passait vite et la sonnerie retentit. Je montai les escaliers et me dirigeais vers la salle 123. Quelqu'un attendait, sa devait être une nouveau élèves car son corps ne me disait rien. Il semblait à moitié endormit. Je le regardais de plus prés. Il était grand et avait des cheveux noirs comme la réglisse. Il était plutôt mignon. Je sentais mon cœur battre plus vites jamais je n'avais ressentit ça, jamais. Les autres arrivèrent en criant. Pff ce n'était que des petits gamins. Le nouveau sortit de son sommeil et se retourna dans air lasse. Il regarda autour de lui et son regard si doux se posa sur moi. Je faillis tomber dans les pommes, mais soudain la voix désagréable de mon professeur me sortit de mes songes. Pff tout le monde gâcher tout. Il ouvrit la porte et nous fis entrer.

La suite quand je l'aurais finis bye

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Dega que ça me gave de lire un book de 600 pages pour l'ecoles alors le tient . . .

Bref,

tu a de l'imagination , de l'idée ,c ma l'air bon niveau orthographe après avoir lu quelques ligne , tu est doué =) tu a écrie beaucoup continue

descriptionUne petite fiction non pivot EmptyRe: Une petite fiction non pivot

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Pas eu le courage de tout lire mais le peut que j'ai lus j'ai bien aimer!

descriptionUne petite fiction non pivot EmptyRe: Une petite fiction non pivot

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Pas mal... T'es assez douée :-D

Dommage qu'il y est pas mal de fautes d'orthographes... Mais c'est bien, continue :)

descriptionUne petite fiction non pivot EmptyRe: Une petite fiction non pivot

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Bah c'est assez maladroit dans la narration, puis les temps sont assez mal utilisez ( des fois du présent, d'autre du passé simple ou de l'imparfait ) et pas mal de faute en effet.
Puis franchement y'a certaines choses que tu pourrais zapper. Genre la douche, tu dit qu'elle prit une douche puis qu'elle se secha les cheveux, parce que ça en devient barbant sinon.

descriptionUne petite fiction non pivot EmptyRe: Une petite fiction non pivot

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