Oui recemment j'ai eu une énorme passion pour les poouemes^^ donc j'en ai réalisé quelques un don certain que mes copains ont vraiment aimé. J'affiche donc mes derniers poèmes (certain n'aurait pas naqui sans l'aide du duel contre sergPepper^^) :
(Poème 1)
Monsieur le bretteur a relevé mon défi ?
Franchement, tu es bien téméraire par ma foi.
Mais à me défier tu tomberas dans l’oubli,
Je fais des alexandrins avec un seul doigt.
Mes poèmes sont comme une fleur de cerisier,
Délicats, ils sont vraiment bien coordonnés,
Les tient sont glauques, très mauvais et mal formés.
Ta verve me donne plus l’envie de t’éliminer,
Ce qui sera facile, vu tes capacités,
Si je le veux, je peux t’enflammer d’un seul trait
Ton cœur, je peux le transpercer avec mes rimes,
Même avec mon alexandrin le plus infime.
Prends garde à toi, ramoneur de vers de vache !
Je ne serai point étonné que tu te fâche,
Un parleur de ton niveau ne fait pas le poids,
Il va t’être difficile de garder la foi.
Notre niveau de conscience est trop différent,
Je cherche, je trouve et ensuite je rime,
Toi tu pense, tu ne trouve pas et tu déprime,
Pour nous donner un résultat vraiment barbant…
Ces poèmes suffiraient à t’envoyer paître,
C’est donc pourquoi je ne vais pas aller plus loin.
Mes rimes te pulvérisent avec le plus grand soin,
En tout cas sache que tu as trouvé ton maître.
(Bien plus haut je viens de te faire vingt-quatre vers,
Vingt-quatre étant le jour de mon anniversaire)
---------
Monsieur le bretteur a relevé mon défi ?
Franchement, tu es bien téméraire par ma foi.
Mais à me défier tu tomberas dans l’oubli,
Je fais des alexandrins avec un seul doigt.
Mes poèmes sont comme une fleur de cerisier,
Délicats, ils sont vraiment bien coordonnés,
Les tient sont glauques, très mauvais et mal formés.
Ta verve me donne plus l’envie de t’éliminer,
Ce qui sera facile, vu tes capacités,
Si je le veux, je peux t’enflammer d’un seul trait
Ton cœur, je peux le transpercer avec mes rimes,
Même avec mon alexandrin le plus infime.
Prends garde à toi, ramoneur de vers de vache !
Je ne serai point étonné que tu te fâche,
Un parleur de ton niveau ne fait pas le poids,
Il va t’être difficile de garder la foi.
Notre niveau de conscience est trop différent,
Je cherche, je trouve et ensuite je rime,
Toi tu pense, tu ne trouve pas et tu déprime,
Pour nous donner un résultat vraiment barbant…
Ces poèmes suffiraient à t’envoyer paître,
C’est donc pourquoi je ne vais pas aller plus loin.
Mes rimes te pulvérisent avec le plus grand soin,
En tout cas sache que tu as trouvé ton maître.
(Bien plus haut je viens de te faire vingt-quatre vers,
Vingt-quatre étant le jour de mon anniversaire)
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(Poème 2)
Alors, que vais-je donc sortir comme nouveau poème ?
Des vers embrasés ? Des rimes d’une rare beauté ?
Tout ces choix ne sont que de cruels dilemmes…
Maintenant je sais quoi écrire c’est décidé.
Sentez-vous cet effluve infectant le zéphire ?
Fi ! Quel infâme fumet, je ne le puis souffrir.
De violents parfums de tanière odorisés ?
Ou bien d’intoxicants relents de chien mouillé ?
Vous autres spectateurs assistants à la scène !
Seriez-vous des amis du fat que je talonne ?
Ou bien des gardes-chasse empêchant qu’on braconne ?
Ah ce sergent ! Toujours à créer sans veine…
Comparé à moi, tes rimes sont obscènes.
Des outrages reçus, mon ton reste en deçà :
Une odeur m’indispose, un sergent m’offensa.
Si j’ajoute à son trait ce musc de sauvagerine,
C’est par une fois à ce jour qu’on flétrit ma narine.
Ultime hommage avant que je te catapulte,
Tel un Icare allant du zénith vers les flots,
Ce sera donc de ma part, et par une belle chute,
Que l’insipide récit que je t’envois ce clôt.
Pour bien en finir, pour te faire sonner le glas,
C’est l’alexandrin qui te désarçonnera,
Par la plus haute voltige douze pieds dans ta face !
C’est sur ce vers que mon poème se finira ;)
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(Poème 3)
En cette belle matinée du mois de Mai,
Je n’ai qu’une seule envie et c’est celle de partir.
Quitte à si il faut je me doive de dépérir,
Rien ne pourra empêcher cette destiné.
Tel le dauphin très joyeusement animé,
Ces gouttes de lumière, je rêve de les saisir,
Dans cette aventure, je vaincrai sans coup férir,
Mon cœur s’empli d’extase, rien qu’à cette idée.
Mes vars sonnent toutefois d’un brin de tac-au-tac,
C’est un vœu de silence, une éthique ? Ou le trac ?
Moi seul je ne peux pas partir à l’aventure…
Moi je ne suis qu’un simple poète viril,
La Vérité me façonne entre quatre murs,
Simple enfant ne peux voyager, je me défile.
Alors, que vais-je donc sortir comme nouveau poème ?
Des vers embrasés ? Des rimes d’une rare beauté ?
Tout ces choix ne sont que de cruels dilemmes…
Maintenant je sais quoi écrire c’est décidé.
Sentez-vous cet effluve infectant le zéphire ?
Fi ! Quel infâme fumet, je ne le puis souffrir.
De violents parfums de tanière odorisés ?
Ou bien d’intoxicants relents de chien mouillé ?
Vous autres spectateurs assistants à la scène !
Seriez-vous des amis du fat que je talonne ?
Ou bien des gardes-chasse empêchant qu’on braconne ?
Ah ce sergent ! Toujours à créer sans veine…
Comparé à moi, tes rimes sont obscènes.
Des outrages reçus, mon ton reste en deçà :
Une odeur m’indispose, un sergent m’offensa.
Si j’ajoute à son trait ce musc de sauvagerine,
C’est par une fois à ce jour qu’on flétrit ma narine.
Ultime hommage avant que je te catapulte,
Tel un Icare allant du zénith vers les flots,
Ce sera donc de ma part, et par une belle chute,
Que l’insipide récit que je t’envois ce clôt.
Pour bien en finir, pour te faire sonner le glas,
C’est l’alexandrin qui te désarçonnera,
Par la plus haute voltige douze pieds dans ta face !
C’est sur ce vers que mon poème se finira ;)
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(Poème 3)
En cette belle matinée du mois de Mai,
Je n’ai qu’une seule envie et c’est celle de partir.
Quitte à si il faut je me doive de dépérir,
Rien ne pourra empêcher cette destiné.
Tel le dauphin très joyeusement animé,
Ces gouttes de lumière, je rêve de les saisir,
Dans cette aventure, je vaincrai sans coup férir,
Mon cœur s’empli d’extase, rien qu’à cette idée.
Mes vars sonnent toutefois d’un brin de tac-au-tac,
C’est un vœu de silence, une éthique ? Ou le trac ?
Moi seul je ne peux pas partir à l’aventure…
Moi je ne suis qu’un simple poète viril,
La Vérité me façonne entre quatre murs,
Simple enfant ne peux voyager, je me défile.